Dimanche 16 Avril, sur le parking du centre commercial Océanis, au Robert, nous nous organisons pour du covoiturage .Ca y est . 5 voitures et les 21 participants se sont casés et les chauffeurs se dirigent vers le point de départ de la marche. Nombreux sont les nouveaux .Quelle sera leur impression à la fin de la marche ?

Maddy remet des bâtons à ceux qui en veulent, donne des précisions sur l’ensemble du circuit, la durée.L’objectif est : LA POINTE BANANE.

     

Dès le début Maddy insite et répétera sa proposition en d’autres points de la randonnée. : Un participant est fatigué, souhaite s’arrêter car il ne peut plus continuer, il est prié de le signaler et aussitôt le groupe revient aux voitures.

Nous voilà partis autour de 8:10. Nous avançons dans les sous bois en faisant attention aux nombreuses racines , parfois des arbres se retrouvent sur le sentier et augmentent les difficultés

Les arrêts sont nombreux pour boire, se reposer. Il est certain que chacun va à son ryhtme,tient compte de son état personnel .

     

Les opinions peuvent diverger . Des nouveaux interrogés tout au long du trajet, déclarent que cela va, que leurs hésitations jusqu’à ce jour pour rejoindre le groupe n’avaient pas de raisons d’être. Ils sont prêts à revenir .

Pour d’autres c’était trop long .Possible . Ils ont peut être voulu se surpasser , n’ont pas exprimé ce : “j’arrête ” qui aurait entraîné le retour immédiat du groupe vers les voitures…

Une question se pose pour les responsables et l’accompagnateur :

Si l’enseignant en physique adapté qui accompagne le groupe voit que l’un des participants a quelques difficultés à continuer doit il aussitôt décider de rejoindre les voitures  ?

Doit il attendre que  ceux pour qui c’est difficile,  respectent la proposition qu’à certains moments cet enseignant a suggéré : signaler qu’on est fatigué, que c’est difficile, qu’on en peut plus ?

La discussion  est ouverte.

Cette marche fut semble t il agréable. Nous avons été en contact avec la forêt, la présence de la ville avec les habitations et la mer.

           

A l’abri du soleil tout au long du parcours, la chaleur qu’il procure  a été subie pendant une petite demie heure pour regagner les véhicules par la route.

Les plus courageux l’ont suivi , tandis que quelques uns en toute simplicité ont accepté  qu’un des automobilistes reviennent les chercher.

Maddy s’est dévouée.Il n’y avait en attente que 4 ou 5 participants .

A bientôt .