images extérieur lycée acajou 2JEUDI 22 Novembre 2018,

salle polyvalente du lycée Acajou 2, les partenaires suivants : L’Education Nationale, des médecins en charge de la Drépanocytose au Centre  Hospitalier Universitaire de Martinique, le responsable du laboratoire du centre hospitalier de Mangot Vulcin et les associations  en lien avec la Drépanocytose, se sont retrouvés pour informer ceux qui avec les premiers cités mettront en oeuvre le projet DREP’ADO.

20181122_153610 lycée acajou 2 Novembre le 22 2018

 

De quoi s’agit -il ?

Ce projet initié  et préparé par des représentants de l’ARS , l’Education Nationale, les Docteurs ELANA et LOKO et les associations APIPD, VIV’ASC et ASAD 972 a pour but :

  • le développement de la compréhension de la drépanocytose par des élèves adolescents choisis : pour 2018-2019, quelques 400 élèves de classes de troisièmes, de 5 collèges du département,
  • l’éveil de leur curiosité pour connaître  leur statut c’est à dire leur hémoglobine ; AA / AS /  AC /  SS /  SC,
  • la prise de conscience de l’impact individuel ou collectif selon le statut,
  • le support de départ est le carnet de santé
  • les acteurs désignés : les élèves, les enseignants , en particulier ceux de Sciences et Vie de la Terre , et les infirmières scolaires.

Aussi ce 22 novembre de 13 à 17 heures, les initiateurs du projet DREP’ADO, informaient les futurs acteurs hormis les élèves, des étapes des différentes actions qu’ils auraient à mener auprès des élèves et leurs parents entre janvier 2019 et maximum juin 2019.

Il faut souligner, que projet  couvre l’ année scolaire en cours et devrait  s’étendre,  après évaluation,  sur l’inclusion , peut être, de tous les collèges  du département.

MARDI 27 novembre,de 8:30 à 12:30 heures au Lycée Petit Manoir du Lamentin, en salle C 39

Les initiateurs du projet  DREP’ADO  le présentent  à une majorité d’infirmières de l’Education Nationale. qui n’avaient pu  être présentes à la réunion du 22.

De nombreuses questions fusent et mettent en évidence les difficultés possibles pour

  • obtenir des parents le carnet de santé,
  • leur accord pour conduire leurs enfants au laboratoire pour le dépistage,
  • récupérer les résultats
  • faire ce qui leur est conseillé en cas d’anomalies de l’hémoglobine ou tout autre information imprévue, inattendue.

Ce qui est à retenir c’est que la motivation est omniprésente et que chacun donnera le meilleur de lui même pour apporter à  ces ados une meilleure connaissance de cette pathologie et surtout des conséquences pour eux, parents éventuels des années à venir.